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Cascade de glace, 20-21 janvier 2024.



 



Par Nicolas Masoch :



 



Premier jour à Anzère ice park, au sommet des installations. Second jour à Brucholay, dans le val de Bagnes.



 



Sûrement le week-end le plus extrême de ma vie. J'ai vraiment adoré débuter sur une structure artificielle pour faire mes premières marques. C'était plus facile et moins physique de mettre mes piolets dans des trous déjà fait. Ensuite le deuxième jour était plus sauvage. On a cherché à différents endroits des cascades. Malheureusement elles n'étaient pas encore bien formées. Finalement on s'est contenté d'une cascade au bord du chemin dans la forêt. C'était intéressant de grimper dans un milieu naturel, de voir certaines manipulations que je n'avais jamais vu. (Grimper avec des cordes à double, les coinceurs, vis à glace, relais sur un arbre). Si c'était à refaire, je le referai à 100%.



 



 



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Gr.Tramelan Combe de Biaufond

Dimanche 3 novembre, une sortie avec un bel esprit de camaraderie et des paysages magnifiques.

Participants : Claire-Lise, Anne, Christine, Corinne, Josianne, Brigitte, Yolande, Gladys, Pierre-André, André Jubin, André Montavon, Andréas, Walter, Daniel, Jean-Claude et Charles.



C'est sous un ciel d'automne radieux, baigné de couleurs chaudes d’un été indien, que notre groupe enthousiaste se retrouve pour une journée de randonnée. Claire-Lise, notre cheffe de course, a tout organisé pour nous offrir une belle aventure. Nous nous rendons en voiture aux Bois, au lieu-dit Maison-Rouge, où commence notre parcours.



Nous débutons notre marche par une petite route de campagne en direction d’un autre lieu pittoresque, l’Etang du Cul des Prés. Sur le chemin, nous avons la surprise de croiser un attelage de neuf huskies tirant un traîneau. Une vision digne du Grand Nord, qui ajoute une touche magique à notre matinée ! Après avoir laissé passer l’attelage, nous poursuivons notre descente vers la Combe de Biaufond, un site où la nature règne en maître. Les échelles que nous empruntons sont en bon état, bien que longues et raides. Chaque pas nous rapproche de cet environnement sauvage, où les sons de la forêt et l’humidité du sentier nous immergent dans une atmosphère empreinte de calme et d’aventure.



Deux heures de marche tranquille nous mènent enfin à Biaufond. Ce coin est un petit paradis : le Doubs, calme et limpide, y dessine une boucle parfaite. Des dizaines de cygnes, canards, foulques, et même un cormoran, y nagent paisiblement. Claire-Lise avait repéré un coin de pique-nique, mais celui-ci est à l’ombre. Nous décidons donc de passer sur la rive française, mieux ensoleillée, et nous installons pour notre pause dîner. Un feu est rapidement allumé pour griller le traditionnel cervelas, l’ambiance est à la convivialité. L’apéritif est partagé, et les rires fusent autour du feu.



Revigorés, il est temps de reprendre le chemin, cette fois en direction du Rocher de l’Aigle, qui nous attend 400 mètres plus haut. C’est notre deuxième défi de la journée. Nous escaladons de nouvelles échelles pour atteindre le sommet, où nous prenons le temps d’admirer la vue qui s’offre à nous. Le soleil, généreux, nous réchauffe tandis que nous prenons quelques photos de groupe, capturant nos sourires heureux et nos visages rayonnants.



La dernière étape nous ramène vers Maison-Rouge, en passant par le hameau de Cerneux-Godat. Comme des chevaux sentant l’écurie, certains, impatients de célébrer la fin de la journée, accélèrent le pas. Mais notre cheffe de course veille à ce que le groupe reste uni jusqu’au bout.



Nous achevons notre périple tous ensemble et profitons encore du soleil automnal sur la terrasse du restaurant. Une bière bien méritée vient clore cette belle journée avant que chacun ne reprenne le chemin de la maison, des souvenirs pleins la tête.







Charles


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