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Cascade de glace, 20-21 janvier 2024.



 



Par Nicolas Masoch :



 



Premier jour à Anzère ice park, au sommet des installations. Second jour à Brucholay, dans le val de Bagnes.



 



Sûrement le week-end le plus extrême de ma vie. J'ai vraiment adoré débuter sur une structure artificielle pour faire mes premières marques. C'était plus facile et moins physique de mettre mes piolets dans des trous déjà fait. Ensuite le deuxième jour était plus sauvage. On a cherché à différents endroits des cascades. Malheureusement elles n'étaient pas encore bien formées. Finalement on s'est contenté d'une cascade au bord du chemin dans la forêt. C'était intéressant de grimper dans un milieu naturel, de voir certaines manipulations que je n'avais jamais vu. (Grimper avec des cordes à double, les coinceurs, vis à glace, relais sur un arbre). Si c'était à refaire, je le referai à 100%.



 



 



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Gr. Tramelan randonnée facile

Pigne de la Lé, 20 et 21 juillet 2024

Chefs de course : Claire-Lise Donzé et Daniel Liechti



Participants : Charles, Anne, André M., André J., Marguerite, Anouck, Yolande, Jean-Claude, Grégory, Maxim, Corinne, Christine, Edith



Les prévisions météo étant mauvaises pour le dimanche, c’est à 5h le samedi matin que nous nous retrouvons tous au CIP pour embarquer dans 4 voitures. Arrivés au parking au bout du lac de Moiry, nous repérons les objectifs du jour sous un ciel sans nuages. Chaussures aux pieds, sac au dos, notre petite troupe se met en route. Les 11 personnes qui ont pour objectif le Pigne prennent la voie directe pour la cabane alors que 4 personnes prendront le sentier qui surplombe la rive gauche par la moraine pour traverser la langue glacière et rejoindre à leur tour la cabane. En longeant le sentier sur la moraine, nous les apercevons en face, puis nous entamons la montée à la cabane avec déjà les premiers névés à traverser. Petite pause sur la terrasse pour nous désaltérer, croquer un petit en-cas et alléger nos sacs.



Sans perdre de temps, nous poursuivons notre ascension vers le Pigne de la Lé. Nous parcourons tour à tour pierriers et bouts de sentier qui disparaissent plusieurs fois sous les névés. La cabane est déjà bien petite au-dessous de nous quand nous déposons nos bâtons pour poursuivre notre progression jusqu’au col et rejoindre le pied de l’arrête. Là, nous nous encordons afin de grimper jusqu’au sommet par un itinéraire judicieusement choisi par Daniel pour ménager nos muscles et nous préserver de la peur du vide. Au sommet, nous nous régalons de la vue magnifique sur la couronne impériale, le Cervin et les autres sommets en direction du nord. La température est estivale et nous permet de pique-niquer en t-shirt à 3400m d’altitude.



Crampons aux pieds, les 4 cordées de notre groupe entament la descente sur le glacier complètement recouvert d’une neige juste ramollie à souhait. Réjouis, nous reprenons nos bâtons pour chacun à notre rythme, redescendre à la cabane par le sentier emprunté le matin. Tous un peu fatigués mais très heureux, nous partageons apéro, très bon souper puis parties de cartes plus ou moins animées avant de rejoindre nos couchettes.



La météo du lendemain nous confirme que nous n’aurions pas pu aller au sommet le dimanche. Nous avons tout le temps de redescendre aux voitures, sous les nuages qui voyagent sur les sommets mais sans une goutte de pluie. Sur la route du retour, arrêt au restoroute de la Gruyère pour partager un dernier verre et petite restauration pour quelques-uns, puis nous dire au-revoir. Un grand merci aux chefs de courses bien inspirés et à tous les participants pour la bonne humeur, les rires et les échanges amicaux.



Edith



 



 



Nous étions quatre membres André, Anne, Margrit et moi-même à choisir la course dite facile. Nous avons quitté le parking en même temps que nos camarades, entamant une montée par la rive gauche du glacier de Moiry. Après une bonne heure de marche et 300 mètres de dénivelé positif, nous avons entrepris la descente sur le glacier par un sentier d'éboulis, semblable à la descente d'une moraine.



Nous avons chaussé les crampons, une première pour certains d'entre nous, et formé une cordée. André, malheureusement, avait des souliers inadéquats, et ses crampons se décrochaient à plusieurs reprises. Finalement, il a traversé sans eux, ce qui s'est avéré tout aussi efficace.



À la sortie du glacier, nous avons fait une pause pique-nique. Pendant ce temps, j'en ai profité pour chercher le meilleur passage à travers cette moraine, qui s'effondre un peu plus chaque année, afin de rejoindre le sentier situé 50 mètres plus haut. Après une montée pénible, nous avons atteint la cabane, objectif de la journée.



Traverser un glacier et ressentir cette sensation unique de la haute montagne a été une très belle expérience pour certains d'entre nous.



Charles



 


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Kaiseregg par l'arête N

Kaiseregg par l’arête N 

 



Cheffe de course : Claire-Lise



 



Nous nous retrouvons tous à 6h30 sur le plateau d’Orange. Après les salutations d’usage c’est 11 inscrits qui rejoignent le Lac Noir, malgré un ciel qui ne promettait pas que du soleil, effectivement, les quelques derniers Km avant d’arriver au lac, la route était bien détrempée. Pour redonner un peu d’élan à la troupe, un petit café le temps que la météo en ai fini de ces caprices, c’est parti, avec le brouillard qui remplaça la pluie, heureusement dès la sortie de la forêt quelques trouées dans le ciel nous fit rêver à un ciel tout bleu, hélas ce satané NINBOU nous rattrapa bien avant le sommet pour si installer. Cette crête N ; c’est un morceau !!! Et le pique-nique de midi au pied de la croix, tombait à pic, d’autant que le ciel se dégageait, et nous montrais sa plus belle robe ! Que du bonheur. Cette rando se faisant en boucle par la crête, où nous croisons un parc à plusieurs centaines de moutons gardé par deux Pâtous bien calmes, OUF !!!  suivi par une descente plus ou moins escarpée jusqu’au col de Golmly, ou à notre grande surprise l’ami Félix Thurler du Chälli , où nous avions dormis quelques semaines  plus tôt, et l’aide de cuisine Muriel, nous accueilles, bien sûr l’accolade et les rires étaient de mise, et c’était déjà le moment de poursuivre notre rando par une descente plutôt+++ jusqu’à Obere  Euchschels et le retour au Lac noir par Unter Bôdeli,  où une pause bienvenue, nous permit de nous désaltérer avec les jambes et les genoux qui devenaient de plus en plus cailleux. Retour aux voitures et un dernier verre et de partage, dans ce décor magnifique. Merci à tous pour l’ambiance, Claire-Lise et à Charles pour l’organisation de cette journée.



 



Claude


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Autour des Gastlosen

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Tête de Chalin

Sortie du 17.08.2024 prévue à la tête de Chalin et déplacée au Rüttelhorn en raison des conditions météo. Cheffe de course : Claire-Lise Donzé. Participants : Edith, Géraldine, Anouk, Bernard, Charly, Nicolas et Nadine.

Rendez-vous à 8h00 à Tavannes et à 8h30 à Eschert. Nous nous rendons en voitures jusqu’à la chapelle San Antonius au-dessus de Matzendorf. Lacets serrés, ambiance au beau fixe, les bras se mettent en mouvements, heureusement suivis par les jambes ! et c’est parti. Le sentier à côté de la chapelle étant fermé en raison d’un éboulement, Claire-Lise nous a dégoté un autre sentier et nous débutons la montée en forêt pour atteindre l’arête Horngraben jusqu’à l’Hinteregg. On se croirait en Amazonie tellement l’air est chaud et humide. Nous longeons ensuite la très jolie arête Schatteberg où nous croisons un chevreuil qui préfère se sauver qu’écouter nos confidences. Quel ingrat ! Vers 11h, nous faisons une petite pause boisson et Claire-Lise reçoit une alarme météo : orages violents aux Dents du Midi, choix judicieux d’avoir déplacée la course. Nous poursuivons jusqu’au Bättlerchuchi où nous découvrons de très jolies voies d’escalade où quelques grimpeurs sont accrochés aux rochers, degrés 6-7, voire plus. C’est la pause de midi, nous sortons les sandwichs et profitons d’admirer leur aisance et leurs gestes gracieux. Certains se prennent même à rêver d’en faire autant.



Repus et désaltérés, nous reprenons la route jusqu’au pied du Rüttelhorn pour ensuite rejoindre le sommet. Le sentier sur l’arête est très joli. Le ciel s’est découvert et nous avons la chance de découvrir le paysage à nos pieds. Inévitablement la descente nous attend. Nous empruntons un sentier pentu puis un chemin plus clément qui nous ramène à la chapelle où nous attendent sagement nos voitures qui nous conduisent directement sur une petite terrasse repérée en amont par Claire-Lise et Charly. Les boissons sont fraîches, le temps de les déguster, il est 16h et les premières gouttes de pluie tombent, le teaming est parfait. Merci Claire-Lise d’avoir pris le temps de nous concocter une virée adaptée à la météo.



Nadine


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Sentiers insolites 2024

Sentiers insolites en terres soleuroises.

Participants : Claire-Lise, Edith, Virginia,  Philippe, Wilfred, André, Maurice, Bernard, Charles, Claude le chef et le chien Laïka.



 



Après avoir garé nos voitures près du restaurant Schmiedenmatt, nous avons entrepris une ascension à pied sur l'arête du Rüttelhorn, chère à notre ami Bernard. Le sentier, d'abord agréable en montée, est vite devenu abrupt et glissant en descente, nous incitant à suivre l'itinéraire balisé « easy way ». Une fois en bas, nous avons repris de l'altitude pour gravir la crête du Schatteberg, située plus au sud et 150 mètres plus haut. De là, la vue sur la mer de brouillard recouvrant le plateau suisse était à couper le souffle, nous donnant presque l'envie de marcher dessus.



 



Notre progression se poursuivait à un rythme modéré, ponctuée de quelques arrêts qui permettaient des échanges joyeux et des anecdotes hilarantes, créant une ambiance des plus conviviales. En route vers le restaurant Hofbergli, nous nous sommes arrêtés pour une pause bien méritée. Là, nous avons fait la rencontre de l'ancien tenancier jovial de l'Oberdörferberg, célèbre pour son service en short et ses histoires toujours amusantes.



 



Après ce moment agréable, notre chef de course Claude a consulté son téléphone, équipé d’une application dernière génération. À notre surprise, elle indiquait 1450 mètres de dénivelé restant, alors que nous n'en avions parcouru que 350 mètres ! La nouvelle a suscité le doute chez certains, tandis que d'autres éclataient de rire, n'y croyant pas une seconde. Tout au long de la randonnée, Claude a cherché à comprendre pourquoi cette application lui donnait 1800 mètres au lieu des 950 mètres attendus.



 



Nous avons entamé la descente direction Günsberg à travers un épais brouillard. Après cette descente, une nouvelle montée nous attendait, longue et exigeante, durant laquelle notre guide, en pleine forme mais parfois un peu distrait, oubliait de faire des pauses pour les retardataires. Les remarques amusées fusaient, laissant deviner que la fin de notre périple approchait. Peut-être que l'octoberfest organisée au restaurant Schmiedenmatt en était pour quelque chose...



 



Notre journée s’est finalement conclue en beauté, autour d’une bière ambrée servie dans des chopes d’un litre par des serveuses en costumes bavarois aux décolletés plongeants, faisant tourner la tête à quelques-uns. Un grand merci à notre chef de course et à tous les participants pour cette belle journée pleine de rires et de convivialité !



Charles


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