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Initiation rando ski 2e volet
Pour le 2ème volet d’initiation à la randonnée, rendez-vous 6h15 à Tavannes.
Le projet initial à Chasseral tombant à l’eau par manque de neige, c’est direction Les Mosses que se dirige notre équipée d’une vingtaine personnes.
Arrivés aux Mosses, café en main au Relais Alpin, l’itinéraire est encore une fois modifié afin d’éviter tout risque d’avalanche (degré 3). Puis les équipements sont contrôlés et les groupes sont formés par nos trois guides (Claude R, Charles D, André M). La neige est au rendez-vous et le départ au plat ou en montée douce. Quelques explications plus loin, nous voilà empruntant un petit sentier dans la forêt. Arrivent les premières conversions, nos chefs ne nous auront pas épargné longtemps !
Cette randonnée aux paysages variés, tantôt venteux, tantôt avec un timide soleil, nous emmène jusqu’au refuge de Pra Cornet. Les programmes des groupes varient ensuite : pause pour certains, montée pour d’autres. La pente s’accentue et la difficulté des conversions aussi ; mais les instructeurs ayant fait leur devoir correctement, c’est avec le sourire et sans problème notable que tout le monde dépeaute. Puis chaque groupe suit son itinéraire à travers la poudreuse, prolongeant la descente ou profitant de faire une petite mise au point sur les DVA grâce à une recherche.
Une fois les groupes réunis, on entame le retour au parking par les chemins balisés, permettant ainsi de boucler la boucle. Un dernier verre aux Mosses ensemble, les discussions sont plus franches et les rires plus faciles après une journée ensemble. C’est vers 16h30 que les voitures s’en retourne au Jura-bernois. Vivement la suite !
Marion Prongué
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Initiation rando ski 3e volet
Après avoir pris un café à l’hôtel Wasserfall à Jaun et admiré la cascade qui rend ce lieu connu, nous prenons la direction de l’ascension du jour. Trois groupes sont formés et tous débutent par les inévitables conversions. Plus les mètres de dénivelé s’additionnent, plus les couches de vêtements diminuent. En effet, la météo printanière en fait suer plus d’un.
Avant d’entamer la dernière montée, une pause s’impose ; chacun sort son casse-croûte et fait le plein d’énergie avant de se lancer dans un exercice DVA (avec plus ou moins de succès).
Cet interlude terminé, le groupe de 19 se met en route pour les derniers mètres de dénivelé afin d’atteindre le sommet Garte à 2040m. Au total, environ 1000m de dénivelé ont été avalés par le groupe avant d’entamer une descente sur une neige quelque peu semée de mottes de terre.
Au final, pas de blessures, du soleil, des magnifiques paysages et un grand bol d’air frais.
Jacqueline et Fabien Hauri
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Traumlücke
Sortie du 15 janvier 2022 au Traumlücke organisée par Patrice Liechti. Participants : Nicole et Gérard Antille, Chantal Cano, Isabelle Vincenzi, Nadine Seckler et Olivier Rammelaere.
Ne changeons pas nos habitudes, départ 7h00 de Tavannes pour Grimmialp. Après un café, direction le parking, surveillé de près par une dynamique indigène. Il y a déjà foule, vivement que nous nous retrouvions seuls en montagne, comme nous l’aimons. La montée se fait d’abord doucement sur un terrain assez plat puis nous entamons la pente pour arriver au sommet du Traumlücke en environ 3h30 pour 1100 mètres de dénivelé. Toute la montée se fait à l’ombre où il fait bon frais et où la neige est excellente. Le décor environnant est superbe avec vue sur de jolis rochers. Nous déposons les skis au pied du petit sommet et finissons à pieds les quelques mètres qui nous restent. La vue est parfaite sur tous les sommets environnants et il n’y a pas trop de monde, le paradis. Patrice nous nomme tous les sommets, ce qui nous scotche mais il faudra que je prenne un cours de rattrapage car je n’ai pas tout enregistré !
La descente se fait dans une neige fantastiquement légère mais attention aux contours trop appuyés car il n’y a pas de fond et les cailloux attendent nos semelles avec impatience !
La pause du dîner (même qu’il n’est plus du tout midi) se fait sur un petit monticule au soleil où nous avons la visite de sympathiques jeunes gens en raquettes.
Retour au parking et via la bière bien méritée au premier bistrot d’ouvert !
Merci à Patrice pour cette superbe virée et à toute l’équipe pour la bonne ambiance.
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Cours avalanche
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Randonnée à ski + fondue
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Traversée Lötschental-Kandersteg
Rendez-vous réussi du groupe de 15 personnes à Wiler, dans le Lötschental, au pied des remontées mécaniques.
Le début de l'expédition est marqué par un trafic conséquent à la caisse des remontées. C'est après une attente pour l'acquisition des billets et 4 lifts plus tard qu'une vue imprenable sur les sommets valaisans marque le début de l'aventure. Premier objectif, le Lötschenpass. Les peaux sur les skis, la troupe s'oriente en direction du Gitzifurggu. Une première descente fantastique dans une belle poudreuse sert d'échauffement et l'extase est au rendez-vous. En effet, Charly en fait un salto, Nadia croque la neige à pleines dents et après une pause pour reprendre de l'énergie, c'est au tour de Marion de s'initier au Tree Hugging, soit un romantisme-écolo avec l'arbre se trouvant en face d'elle. La suite est prometteuse.En début d'après-midi, nous voilà arrivés à Loesch et après une traversée du village, c'est le téléphérique de la Gemmi qui nous amène dans les prochaines hauteurs. C'est là-haut que tout le groupe contemple le fameux Gypaète signalé par le guide Yann. Finalement, après un sourire narquois de ce dernier, l'enthousiasme se calme, car il s'agissait d'un avion à moteur.
La marche reprend pour retrouver la Lämmerenhütte pour y passer la nuit. L'accueil est chaleureux et très gourmand sur le plan culinaire.
Après une bonne nuit de sommeil pour certain et un bon déjeuner pour tous, la course continue pour le prochain sommet, le Rotentotz Lücke. Une deuxième journée ensoleillée s'ouvre à l'équipe avec une bonne neige bien légère avec quelques endroits plus soufflés proches des crêtes, mais quelle joie de refaire les premières traces.
Après 200m de descente, les peaux sont remises pour entamer la dernière montée à la Felshore. Arrivée au sommet, une vue imprenable s'étend sur la face ouest. Un spectacle à couper le souffle, mais pas l'appétit, car suit le gargouillement de l'estomac à Marco.
La dernière étape approche. Une longue descente de 1'000m se profile dans l' Oeschinental. Une pente plutôt raide et soufflée au début qui s'aplanie par la suite permet de faire des adieux à cette sublime région.
Pour la fin, initiation au skating sur les pistes de ski de fond de Kandersteg pour finir la course sur le parking derrière la gare de Kandersteg.
Comme diraient les indigènes : "Schöns isches gsi u bis zum nöchte Mol, Tschau Zämä!".
Merci aux participant(e)s : Lydia, Thierry, Charles, Claire-Lise, Marco, Véronique, Thibaut, Marion, Céline, Mario, Sylvie, Laurent, Géraldine, François, Muriel, Nadia et au guide Yann pour cette belle excursion.
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Tsermon
TSERMON
Le faible enneigement du Tsermont a incité notre chef de course, Claude Rossé, à modifier cette sortie au bénéfice de la Tête à Josué.
C’est ainsi que notre petite équipe composée de Brigitte, Nadine, Olivier, Claude et moi-même nous sommes retrouvés pour un bon café au Resto de L’Etivaz.
Sous un ciel radieux, nous nous sommes équipés pour entamer l’ascension de la jolie tête à Josué. Pas de neige qui colle malgré la température agréable, pas de traces glacées, nous avons pu papoter allègrement durant toute la partie dans la forêt. Une vingtaine de centimètres de poudreuse nous faisant de l’œil dès la sortie, les discussions et les regards se sont ensuite tournés vers les pentes susceptibles d’être les meilleures et les moins courues pour redescendre.
Le sommet en vue, bien chauve au début, a pris des allures de coiffure « rasta » au fur et à mesure que d’autres randonneurs plus matinaux s’attroupaient sur le crâne du Josué. Aïe !!! Déjà quelques belles courbes sont venues troubler l’immaculé blanc manteau. Pas grave, il y reste encore de la place.
Après la petite pause ravitaillement et intendance réglementaire, nous rejoignons le sommet pour profiter de la magnifique vue dégagée à 360°. Un grand rapace nous fait l’honneur d’un somptueux passage… Un aigle ?
Une fois n’est pas coutume, le temps se prête pour un casse-croûte au sommet. Petite séance photos, quelques discussions avec d’autres randonneurs, l’ambiance est sereine et détendue.
Nous nous équipons pour entreprendre la descente à l’affût de pans encore vierges. Ne pouvant être trop gourmands, nous nous contentons des petits secteurs encore non parcourus.
Nous traçons tout droit (enfin quand même en jolies volûtes), attirés par la prochaine pente du dessous. Enfin, presque tout le monde, car Brigitte est à la traîne, ses semelles collant. Après un bon coup de grattoir et la technique du « je bouge mes skis tout le temps », les choses rentrent dans l’ordre et elle peut aussi prendre plaisir dans ces bonnes conditions neigeuses.
Nous rattrapons un duo de Vaudois lors d’un arrêt stratégique dans le choix de l’itinéraire final. Après quelques échanges d’idées, nous choisissons l’option « descente tout droit jusqu’en bas ». Nous repérons deux ponts pour traverser la rivière en fond de vallée (mais y en a-t-il vraiment deux ???) Notre duo de Vaudois ouvre la voie en direction du premier pont, qui finalement n’en est pas un. Ils en sont quittes pour pousser jusqu’au prochain pont. Brigitte, avec ses skis qui glissent enfin, les suit de trop près et pousse également. Le reste du groupe vise bien évidemment le deuxième pont. En riant, nous nous retrouvons tous de l’autre côté de la rivière… les derniers sont les premiers.
Maintenant il nous reste à suivre ce fond de vallée pas très pentu pour une partie « glisse-skating-remontée-glisse-skating-glisse » qui nous mène à la voiture de Claude. Heureusement, il y a assez de neige sur tout le tracé, en visant bien, nous ne d
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