180505 escaladeauraimeux
Bernard vient me chercher à 9h30, puis départ pour les gorges de Moutier où nous trouvons facilement une place de parc. Nous montons le couloir qui est très sauvage. Il ne faut pas louper le point rouge sur l’arbre qui indique qu’il faut monter à gauche jusqu’aux rochers. Premier objectif : les pieds joints équipés par Carine Devaux et Christophe Girardin.
180429 rallyejurassien
Dimanche 29 avril, c’est sous un ciel radieux que les membres des sections jurassiennes du CAS ont eu l’occasion de se retrouver. Lieu de rendez-vous, le stade de foot de Belprahon. C’est Éleonore Girardin qui a eu l’honneur de recevoir les inscriptions de tous les intéressés pour ensuite organiser les groupes en fonction des vœux de chacune et de chacun.
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Après le café-croissant au restaurant Florida à Studen, offert très généreusement par nos amis clubistes de Bienne, la joyeuse cohorte des 29 participants se déplace en direction de Schwadernau et Dotzigen en passant par les méandres de la vieille Aar. Nous longeons divers marécages et petits lacs oùnous sommes accueillis par le chant des grenouilles. En suivant à travers champs et forêts nous découvrons un petit lac.
PDG 2018, Rosablanche,rando à ski Nendaz
Le rendez-vous est donné au parking de Siviez à 5h15. Ils annoncent grand beau et très chaud. La course est confirmée mais avancée d’une heure.
Nous prenons le télésiège jusqu’au bas du col des Gentianes puis les cabines jusqu’au col des Gentianes à 2980 mètres.
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Le départ se fait depuis le Jungfraujoch et c’est sous un ciel bleu accompagné d’un soleil radieux que nous entamons la descente jusqu’à la Place Concordia.
Record de descente presque battu sur une neige dure où il ne faut pas tomber si on tient à sa peau… et je ne vous parle pas de ce que les muscles des cuisses subissent, mais le bonus de l’exercice est que le massage complet des jambes est garanti.
Le temps de reposer un peu nos gambettes en collant les peaux et nous nous mettons en route pour atteindre le but de la journée, à savoir la cabane du Finsteraarhorn via le Grünhornlücke.
Comme on s’en doutait, la cabane est pleine comme un œuf. Il y a du linge étendu sur la terrasse, on dirait le sud…Quoique… il y a aussi, éparpillés un peu partout, des chaussons de souliers de ski, des peaux de phoque, des gants… ça ne ressemble ni à la Louisiane ni à l’Italie...
Le reste de l’après-midi se fait tranquillement, un peu au soleil, un peu à la sieste, un peu à l’apéro…. Finalement tout comme au sud…
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Les conditions sont excellentes dans le massif. Arrivé au Mittel Allalin à3500m, on a la possibilité de choisir l’itinéraire pour aller à la cabane Tesch ! On va prendre la variante oùl’on va le moins tracer.
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Tout le monde se retrouve sur le parking de la patinoire de Sonceboz à 9h. Présentations d’usage et démonstration du matériel nécessaire pour une course sur glacier. Puis sous la houlette de Philippe, nous empruntons, à un rythme soutenu, le sentier du Chatillon en direction du pâturage du Brahon pour une pause boisson.
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Isabelle nous a donné rendez-vous à 13h sur le parking de chez Aldi à Tavannes. Nous faisons connaissance, petits comme grands, et démarrons notre escapade par 1 heure de route jusqu’au terrain de football de La Sagne. Le temps est gris et plutôt frais.
C’est chaudement équipés, avec bonnet et gants pour certains, que nous démarrons notre ballade. Le plat cède vite la place à une rapide montée. Nous voilà réchauffés lorsque nous arrivons au départ du sentier des statues de bois.
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Comme le dira Thomas au terme de notre périple,« si nous étions partis en privé, nous ne serions pas partis… ». En effet, les intempéries des jours qui ont précédé notre départ étaient des plus dissuasives, mais pas assez toutefois pour entamer la confiance que nous avons en Yann. C’est donc sans discussion que Anne-Dominique et les Jeckelmann honorent le rendez-vous du vendredi 30 mars 2018, à 7h22,à la gare d’Aigle. Ils embarquent les Marquis qui ont dormi aux Diablerets une demi-heure plus tard et c’est pleins d’entrain que nous nous retrouvons au pied de la cabine Glacier 3000, qui ne partira pas ce jour-là, étant donné la force des vents qui soufflent en altitude.