Autour de Nendaz

Le seul participant étant inscrit ayant décidé de renoncer, l’activité a été annulée.

Sem hivernale Bernina-Rifugio Marinelli

semaine hivernale bernina 8 au 12 avril 2024

Programme modifié en raison des conditions meteos. Vents violents et dangers d’avalanche ne permettant pas de rejoindre le refuge Marinelli et de faire la descent sur Poschiavo, la semaine s’est déroulée entièrement à la cabane Coaz. Les sommêts alentour étaient assez nombreux pour randonner chaque jour sur différents itinéraires dans de bonnes conditions.

merci à tous les participants pour la discipline et la bonne ambiance.

Patrice et Frédy

Alphubel

Course annulée à cause d’une météo instable.

Dimanche sentier des Bûcherons avec Céline et Julien Ryf. Belle ballade avec 30cm de neige sur les hauts du Schilt.

Vanil des Cours

Rapport de course

Vanil des Cours par le Mont Bifé

Cheffe de course : Claire-Lise

Participants : Géraldine, Aline, Corinne, Brigitte, Edith, Gladys, Marlyse, Véronique, Josiane, Brigitte, André, Charles

Les prévisions météo pour le samedi 8 juin nous prédisaient, depuis le début de la semaine, une journée pluvieuse. Mais notre cheffe de course, Claire-Lise, avec son optimisme habituel et sa capacité à motiver ses troupes, maintient la sortie.

Nous nous retrouvons donc, les 12 participants, équipés de nos parapluies et imperméables, derrière l’hôtel de ville de Tavannes à 6.30h pour nous rendre à Broc où la 13^e marcheuse nous rejoint au café du village.

La randonnée débute tranquillement dans les Gorges de la Jogne. Dans ce cadre magnifique, de belles cascades, quelques tunnels et plusieurs ponts nous emmènent vers le barrage de Montsalvans.

Après la traversée du village de Châtel-sur-Montsalvans nous entamons, par la crête, la montée vers le but de la journée. La vue splendide sur le lac de Gruyère d’un côté et les Préalpes fribourgeoises de l’autre, nous font presque oublier le dénivelé tout de même conséquent pour l’une des premières courses de la saison. Le dénivelé justement…  varie tout au long de l’ascension,  selon les indications des différentes  montres connectées de plusieurs participants.

Après quatre heures de course et des estomacs criant gentiment famine, nous atteignons le Mont Bifé. Comme un vent frais se lève et que la pluie semble arriver par l’ouest nous ne nous attardons pas et poursuivons notre chemin pour arriver une demi-heure plus tard au Vanil des Cours. Une jolie croix orne le sommet et la montre de Claire-Lise, la référence des non-connectés, indique un dénivelé positif de 1240m.

La descente sur le Cerniat nous conduit à travers de beaux pâturages fleuris mais bien humides et des sentiers forestiers sur lesquels nous redoublons d’attention afin de ne pas glisser et chuter.

Heureux d’arriver dans ce charmant petit village, nous admirons une magnifique maison en tavillons alors que Claire-Lise nous rappelle que le but n’est pas atteint. Nous poursuivons donc notre excursion pour arriver vers 15h, après 6h42 de course à Charmey où nous nous désaltérons sur la terrasse du petit restaurant du Minigolf. C’est en car postal que nous rejoignons les voitures, reconnaissants d’avoir finalement ouvert nos parapluies juste pour quelques gouttes de pluie.

Merci à Claire-Lise pour l’organisation de cette belle course et à chaque participant pour la bonne humeur et les agréables partages.

Gladys

Sibe Hängste

Course finalement repoussée d’un jour en raison de la météo pluvieuse. Sortie magnifique, avec temps gris et montée très soutenue le matin, puis bien ensoleillé moins soutenue sur la crête des 7 Hängste (les 7 étalons) à presque 2’000m . Lors de la descente, grotte (Tropfloch) qui s’étant sur 1 km parcourue sur quelques dizaines de mètres, les profondeurs étant impressionnantes et fraîches. 1’200m de dénivellation et un peu moins de 20 km de marches comme préparation pour l’hiver prochain !

Journée ponctuée par un grillade à Thoune / Heimberg chez Claude et Christine. 

Chälli

Sortie « Chälli » 22-23 juin 2024, proposé par Claude Rossé.

Participants :

Claude ; Claire-Lise ; Edith ; Anouck ; Christine ; Laurence ; Charles ; Stéphane ;Wilfred

La  météo n’étant pas favorable ; Claude propose de se retrouver à Orange pour un départ planifié à 13.30h

Le voyage jusqu’à Jaun pour le café breefing se déroule sous une pluie battante.

Arrivés sur place, la météo s’annonce un peu plus clémente mais nous décidons de monter en voiture jusqu’à la place de parc pour s’élancer dans la marche d’environ 30min afin d’atteindre le paradis de Felix et Rose-Marie Thürler à 1695m au pieds du Chällihorn.

Après les salutations de retrouvailles pour certains et les salutations et découverte du lieu pour d’autres, l’ambiance chaleureuse s’invite autour de la table externe dédiée à l’apéro de bienvenue.

Les histoires, anecdotes et commentaires meublent ce moment sympathique, accompagné momentanément par Felix et son accordéon.

Nous sommes invités à passer à table à l’intérieur pour le souper concocté par Muriel et Pascal.

Après une succulente soupe, le menu principal se compose d’un ragoût de cerf, haricots et cornettes.

Le café est accompagné par des tartes et gâteaux fait maison dont chacun se délecte avec plaisir. Merci aux cuistos du soir.

Formant une chorale improvisée et sous la houlette de Claude et ses grimoires, les chants populaires et même parfois un peu osés animèrent le chalet durant près d’une heure.

Ce fut enfin le moment de découvrir les dortoirs mis à notre disposition pour y passer la nuit. Chacun y trouva une petite place, même si un matelas de 90cm pour un couple d’amoureux fût un peu petit……..

Le déjeuner copieux permet aux participants de prendre quelques forces pour un dimanche de marche, et oui, la météo semble s’assagir. Les parcours prévus par Claude ne pouvant pas tous être suivis, il est décidé de faire le tour du Bäderhore.

Petite photo de famille avant de partir et expression de tous nos remerciements à Félix et Rose-Marie pour le chaleureux accueil.

Le terrain bien gras n’arrête pas la motivation du groupe qui fait une pause avec plaisante dans un alpage et son achalandage de divers fromages de montagne dont les achats trouvèrent place dans les sacs à dos, quitte à y augmenter le poids.

La marche emprunte des sentiers qui nous permettent de découvrir une belle région, certes avec une limitation de vue dû au brouillard et nuages bas, mais l’imagination de chacun contribue à deviner les pâturages et les sommets fribourgeois. Au plaisir d’y revenir par beau temps.

La petite pause pic-nic se fait proche d’un petit chalet. Deux vautours fauves planent près de nous, ceci à quelques dizaines de mètre seulement, quel spectacle grandiose.

Après 2heures 40 min de marche effective, nous arrivons aux voitures.

Un dernier arrêt au restaurant Wasserfallen de Jaun nous permet de prendre congé les uns des autres pour un voyage de retour pour certains et en Valais pour d’autres.

Merci à Claude pour avoir osé maintenir cette sortie, ce n’était pas évident pour lui.

Merci à tous les participants pour leur bonne humeur, sympathie et humour durant tout le séjour

Wilfred et Laurence Hirschi

Gr. Tramelan randonnée facile

Pigne de la Lé, 20 et 21 juillet 2024

Chefs de course : Claire-Lise Donzé et Daniel Liechti

Participants : Charles, Anne, André M., André J., Marguerite, Anouck, Yolande, Jean-Claude, Grégory, Maxim, Corinne, Christine, Edith

Les prévisions météo étant mauvaises pour le dimanche, c’est à 5h le samedi matin que nous nous retrouvons tous au CIP pour embarquer dans 4 voitures. Arrivés au parking au bout du lac de Moiry, nous repérons les objectifs du jour sous un ciel sans nuages. Chaussures aux pieds, sac au dos, notre petite troupe se met en route. Les 11 personnes qui ont pour objectif le Pigne prennent la voie directe pour la cabane alors que 4 personnes prendront le sentier qui surplombe la rive gauche par la moraine pour traverser la langue glacière et rejoindre à leur tour la cabane. En longeant le sentier sur la moraine, nous les apercevons en face, puis nous entamons la montée à la cabane avec déjà les premiers névés à traverser. Petite pause sur la terrasse pour nous désaltérer, croquer un petit en-cas et alléger nos sacs.

Sans perdre de temps, nous poursuivons notre ascension vers le Pigne de la Lé. Nous parcourons tour à tour pierriers et bouts de sentier qui disparaissent plusieurs fois sous les névés. La cabane est déjà bien petite au-dessous de nous quand nous déposons nos bâtons pour poursuivre notre progression jusqu’au col et rejoindre le pied de l’arrête. Là, nous nous encordons afin de grimper jusqu’au sommet par un itinéraire judicieusement choisi par Daniel pour ménager nos muscles et nous préserver de la peur du vide. Au sommet, nous nous régalons de la vue magnifique sur la couronne impériale, le Cervin et les autres sommets en direction du nord. La température est estivale et nous permet de pique-niquer en t-shirt à 3400m d’altitude.

Crampons aux pieds, les 4 cordées de notre groupe entament la descente sur le glacier complètement recouvert d’une neige juste ramollie à souhait. Réjouis, nous reprenons nos bâtons pour chacun à notre rythme, redescendre à la cabane par le sentier emprunté le matin. Tous un peu fatigués mais très heureux, nous partageons apéro, très bon souper puis parties de cartes plus ou moins animées avant de rejoindre nos couchettes.

La météo du lendemain nous confirme que nous n’aurions pas pu aller au sommet le dimanche. Nous avons tout le temps de redescendre aux voitures, sous les nuages qui voyagent sur les sommets mais sans une goutte de pluie. Sur la route du retour, arrêt au restoroute de la Gruyère pour partager un dernier verre et petite restauration pour quelques-uns, puis nous dire au-revoir. Un grand merci aux chefs de courses bien inspirés et à tous les participants pour la bonne humeur, les rires et les échanges amicaux.

Edith

Nous étions quatre membres André, Anne, Margrit et moi-même à choisir la course dite facile. Nous avons quitté le parking en même temps que nos camarades, entamant une montée par la rive gauche du glacier de Moiry. Après une bonne heure de marche et 300 mètres de dénivelé positif, nous avons entrepris la descente sur le glacier par un sentier d'éboulis, semblable à la descente d'une moraine.

Nous avons chaussé les crampons, une première pour certains d'entre nous, et formé une cordée. André, malheureusement, avait des souliers inadéquats, et ses crampons se décrochaient à plusieurs reprises. Finalement, il a traversé sans eux, ce qui s'est avéré tout aussi efficace.

À la sortie du glacier, nous avons fait une pause pique-nique. Pendant ce temps, j'en ai profité pour chercher le meilleur passage à travers cette moraine, qui s'effondre un peu plus chaque année, afin de rejoindre le sentier situé 50 mètres plus haut. Après une montée pénible, nous avons atteint la cabane, objectif de la journée.

Traverser un glacier et ressentir cette sensation unique de la haute montagne a été une très belle expérience pour certains d'entre nous.

Charles